Le représentant spécial du Secrétaire général de l'ONU pour l'Afrique centrale et Chef de l'UNOCA, Abdou Abarry, et l’ensemble du Système des Nations Unies ont réitèré ce vendredi 25 aout, l’appel du Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, en faveur d’un processus électoral apaisé, inclusif et crédible.
« A cet égard, l’ONU met en garde contre toutes les formes d’intimidations, de violences, de violations des droits de l’Homme et d’atteinte à la liberté d’expression » et « elle rappelle la nécessité d’éviter les discours de haine et décourage tout acte susceptible de constituer une menace à la paix sociale et à la sécurité des personnes et des biens ».
L’ONU a encouragé les autorités compétentes et toutes les autres parties prenantes, y compris les candidats à la présidentielle, aux législatives et aux locales ainsi que leurs partisans, à mettre en avant l’intérêt supérieur de la nation.
Pour faciliter le scrutin, le 31 juillet dernier, à l’issue de son assemblée plénière, que le Centre gabonais des élections a annoncé l’adoption de ce bulletin unique. Dans la foulée, un décret a été publié début août, suscitant la colère d’une partie de la société civile et de l’opposition. D’après l’opposition, le bulletin unique ne respecte pas la séparation des pouvoirs. Elle a par ailleurs estimé que l’instauration du bulletin unique au dernier moment, favorise la réélection d’Ali Bongo, au pouvoir depuis quatorze ans.
« A cet égard, l’ONU met en garde contre toutes les formes d’intimidations, de violences, de violations des droits de l’Homme et d’atteinte à la liberté d’expression » et « elle rappelle la nécessité d’éviter les discours de haine et décourage tout acte susceptible de constituer une menace à la paix sociale et à la sécurité des personnes et des biens ».
L’ONU a encouragé les autorités compétentes et toutes les autres parties prenantes, y compris les candidats à la présidentielle, aux législatives et aux locales ainsi que leurs partisans, à mettre en avant l’intérêt supérieur de la nation.
Pour faciliter le scrutin, le 31 juillet dernier, à l’issue de son assemblée plénière, que le Centre gabonais des élections a annoncé l’adoption de ce bulletin unique. Dans la foulée, un décret a été publié début août, suscitant la colère d’une partie de la société civile et de l’opposition. D’après l’opposition, le bulletin unique ne respecte pas la séparation des pouvoirs. Elle a par ailleurs estimé que l’instauration du bulletin unique au dernier moment, favorise la réélection d’Ali Bongo, au pouvoir depuis quatorze ans.